Jeudi 11 février, nous sommes allés à l’aéro-club de Biard qui a été fondé en 1924. On y trouve trois pistes dont deux sur l’herbe. La première est pour les avions de passagers et de chasse. La deuxième est pour les planeurs. Et la troisième pour les avions touristiques, elle mesure 2,350 km, et, à sa construction, on a retrouvé des anémones de mer fossilisées. Les avions qui passent par cet aéroport sont des avions touristiques, des Ryanair qui peuvent transporter 180 personnes, des planeurs, des rafales, le Boeing 737 et le Concorde. Philippe, le chef-pilote nous a appris que les premiers pilotes étaient les frères Wright qui ont fait un vol d’une minute. Puis, le maître a fait deux groupes, un avec Philippe et un avec Guy, un membre du club.

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Après, nous avons visité le hangar à avions. Il y avait environ huit avions, de deux à quatre places, avec la voilure en-dessous ou au-dessus de l’avion. Nous sommes montés dans un avion. Cela doit être très dur à piloter, car il y a beaucoup de boutons et de compteurs. Si on tourne la manette du pilote, celle du copilote tourne aussi, il se passe la même chose si c’est le copilote qui tourne et on peut pousser ou tirer les manettes pour avancer et freiner.

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Puis, nous avons continué notre visite par l’atelier. Il y a des mécaniciens qui réparent, révisent et construisent des avions. Ils ont construit un seul avion eux-mêmes sinon ils achètent des pièces à monter. Philippe nous a dit qu’il fallait un mois et demi pour construire un avion. Sur un avion, il y a différentes parties comme la voilure, le fuselage, la queue et le train d’atterrissage. Il nous aussi montré ce que l’on mettait sur les avions pour les protéger (du tissu et un produit spécial).

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Pour terminer, nous sommes allés dans l’aérogare. Il y avait une hôtesse de l’air qui expliquait des choses... Mais nous n’entendions rien ! Quatre personnes y travaillaient. Nous avons vus deux passagers seulement. Les voyageurs sont accueillis. Ils embarquent. Les avions peuvent aller en Angleterre, aux Canaries, en Espagne et en Italie. Il y a même un restaurant qui s’appelle l’Orée du ciel. J’ai adoré cette sortie et j’ai appris beaucoup de choses.

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MARTIN
Texte complété par Ilias, Marius, Mathis

Martin L