Le mardi 20 novembre 2018, nous sommes allés voir un film à la salle Agapit, qui s’appelle Adama.

Le scénariste du film s’appelle Julien Lilti et le réalisateur Simon Rouby.

Il y a plus de cent personnages qui ont été faits en argile. Pour les faire bouger, on les a scannés.

Le film a été inspiré de la 1ère Guerre mondiale. Il est très réaliste. Par moment, il faisait peur.
Il y avait beaucoup de mots d’argot.

Voici l’histoire :

Adama est un jeune garçon de 12 ans qui vit aux côtés de sa famille dans un petit village d’Afrique entouré de falaises, à l’époque de la 1ère Guerre mondiale. Lorsque son frère Samba s’engage aux côtés des Nassaras (personnes blanches), c’est là que son aventure commence. Pour retrouver son frère, Adama quitte son village pour le monde des souffles (hors de son village), où il fera des rencontres inoubliables comme Abdou, Djo... Il part de l’Afrique sur un bateau où on emmène les soldats pour combattre aux côtés des Français. Il y rencontre Maximin, un voleur, gosse des rues peu fiable mais utile qui l’emmènera à Paname (Paris). Adama monte dans une carriole de fer (camionnette). Ensuite, il rencontre Elsa, la soeur de Maximin qui l’aidera à prendre le train pour aller à Verdun (le front) où Samba fait la guerre. Il verra des soldats blessés, comme Djo qui a été blessé par le gaz. Adama part sur le champ de bataille en camionnette avec d’autres soldats. Il retrouve son frère en pleine bataille et Abdou, son ange gardien. Abdou purifie le regard de Samba et grâce à lui, les deux jeunes hommes peuvent retrouver leur village par un passage souterrain que connaît Abdou.