Le port de pêche

A l’Ile d’Oléron, on a visité le port de la Cotinière.

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On a vu plein de bateaux, surtout de pêche : chalutiers, caseyeurs ...

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Il y avait deux grandes grues pour soulever les bateaux : les roulèves.
Elles permettent de mettre le bateau sur le quai pour repeindre la coque, nettoyer les hélices ...

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Il y a des balises vertes et rouges qui indiquent l’entrée du port à babord et à tribord.
Pour se souvenir du nom des côtés, babord plus tribord égal batterie donc babord à gauche et tribord à droite.

Un chalutier est un bateau avec un filet appelé chalut à l’arrière entouré autour d’une bobine.
Des bouées en haut servent à maintenir le filet ouvert, les poids en bas à le faire descendre.
Il y a trois chaluts sur un chalutier.

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Dans l’eau du port, il y avait malheureusement des déchets.

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Cette pollution tue des animaux marins.
Certaines espèces deviennent rares : roussette, saumonette...

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Chaque jour, les pêcheurs partent à 5 heures et doivent rentrer au port à 15 heures.

A la criée, les mareyeurs achètent aux enchères le poisson pêché puis le revendent aux poissonneries, restaurants…

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Dans la salle informatisée de la criée, les acheteurs appuient sur un bouton puis des tickets sont imprimés au nom du vendeur et de l’acheteur puis sont posés dans les caisses.
Il y a 270 patrons de pêcheurs inscrits et 2 criées par jour à 5 h et à 15 h 30.
200 bacs passent en 15 minutes sur le tapis roulant.

A proximité de la criée, une chapelle est dédiée aux marins pêcheurs morts en mer.
Leurs noms sont inscrits sur des croix. Il y a souvent des pêcheurs d’une même famille sur un bateau.
Un marin est mort à 16 ans, c’est une profession dangereuse : on parle de péril en mer.
A cause des dangers de la mer, il y a une chapelle dans chaque port.

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Eïleen et Inès
Inès P.