Un ouragan se développe grâce à une très forte humidité. Une colonne d’air chaud s’élève dans l’atmosphère et donne naissance à des nuages géants.
Au fur et à mesure que cette colonne grandit, elle absorbe l’air chaud et humide à la surface de la mer comme le ferait un immense aspirateur.
La tempête se déplace en tournoyant et s’élève à une altitude qui peut dépasser les 10 km au-dessus de l’océan.

Pour le cyclone, tout le fonctionnement se passe dedans : les vents chauds tournent vers le haut, ils se refroidissent et
redescendent par l’œil du cyclone. La partie centrale du cyclone est la plus calme.

Pour les scientifiques, ce n’est pas toujours facile de prévoir où et quand s’abattront les ouragans. Ils essaient quand même de les détecter et de les suivre grâce à leurs deux types de satellites météorologiques : un de ces types survole le globe au-dessus des pôles et l’autre semble fixe.

Les scientifiques, de jour en jour, améliorent leur technologie, comprennent de mieux en mieux le mécanisme des cyclones et essaient même de prévoir leurs mouvements et leurs trajectoires

Contrairement aux simples cyclones (dépressions), les cyclones tropicaux causent d’importants dégâts, comme par exemple les ouragans.

Les scientifiques d’aujourd’hui ont même inventé des barèmes pour mesurer leurs dégâts.

La naissance d’un cyclone tropical commence par une rencontre d’air froid et d’air chaud qui « s’enroulent » l’un autour de l’autre et forment une spirale d’air qui va se mettre à la verticale et toucher une surface d’eau. Cette spirale se déplace ensuite d’est en ouest, risquant de s’abattre sur les terres qui se trouvent sur son passage. Le cyclone meurt dès qu’il quitte le courant d’air chaud.